Philippe Grégoire détient un baccalauréat en études cinématographiques et littérature comparée de l’Université de Montréal et une maîtrise en Communication de l’UQAM au profil recherche-création en média expérimental. Il est également diplômé de L’inis en scénarisation. Son premier long métrage, Le bruit des moteurs (2021), a été récompensé du prix spécial du jury international au Festival International du Film de La Roche-sur-Yon, du prix du meilleur espoir de la compétition nationale au Festival du Nouveau Cinéma et du prix de la compétition au Los Cabos International Film Festival. Avec la sortie de son premier long métrage au cinéma, le réalisateur vous propose certaines de ses premières œuvres favorites du cinéma québécois!
Les faux tatouages – Pascal Plante
Des personnages vivants. Qui nous rappellent nos ami.e.s et des rencontres fortuites. Nos soirées de concerts et une vie à Montréal.
La femme de mon frère – Monia Chokri
Une œuvre de cinéma au caractère ludique. On aurait voulu être là au tournage pour s’amuser avec l’équipe du film. Est-ce que Monia Chokri et son frère sont aussi cool que les personnages du film?
All You Can Eat Bouddha – Ian Lagarde
S’approprier le monde des tout-inclus pour y tourner une œuvre surréaliste est une idée excessivement puissante. En plus, c’est un film beau pour les yeux et doux pour les oreilles.
La Vie heureuse de Léopold Z – Gilles Carle
Une équipe de l’ONF partait faire un documentaire sur le déneigement des rues à Montréal et elle est revenue de l’aventure avec le premier long métrage de fiction de Gilles Carles.
Les États nordiques - Denis Côté
De nouvelles caméras légères avaient contribué à la mise au monde du cinéma direct à la fin des années 60 et à l’émergence de cinéastes de la belle province. C’est par le numérique et la caméra MiniDV que Denis Côté s’était amené au Festival du Film de Locarno pour s’établir et installer les assises de son œuvre.
Mes nuits feront écho – Sophie Goyette
Un cinéma québécois qui se déroule à l’intérieur et en-dehors de ses frontières territoriales. Un cinéma d’idées. Un cinéma d’audace. Un cinéma singulier. Il y a beaucoup à retenir de ce premier long métrage.