Léa Roy est une comédienne montréalaise. Elle fait ses jeunes débuts à la télévision québécoise dans la série jeunesse Tactik et dans le 19-2 de Podz, puis se fait remarquer plus récemment dans l’Académie. Elle commence à faire sa trace en cinéma dans les premiers films d’Emmanuel Tardif, avec qui elle fonde la boîte de production Les Rapailleurs. Sa première coproduction cinématographique verra le jour en 2022, avec le long-métrage indépendant Au Grand Jour, du même collaborateur. Elle poursuit présentement ses études au Conservatoire d’art dramatique de Montréal.
Les Ordres - Michel Brault
Pour le cours d'histoire politique. Pour l’injustice et l’humiliation qui - c’en est troublant - traversent sans difficulté l’écran.
C.R.A.Z.Y. - Jean-Marc Vallée
Parce que le film parvient à me rendre nostalgique d'une époque qui n'est pas mienne. Puis parce que Marc-André Grondin m'a donné goût au métier.
Les Bons Débarras - Francis Mankiewicz
Égoïstement, parce qu'on m'a dit, enfant, que j'étais une petite effrontée telle Charlotte Laurier dans le rôle de Manon (je l'ai pris comme un compliment). Objectivement, parce que du scénario suinte la liberté de l’éternel cœur d’enfant de Réjean Ducharme.
Un 32 août sur Terre - Denis Villeneuve
C’est toujours un plaisir de découvrir les points de départ de nos cinéastes, et ce premier long-métrage est délicieux. Les personnages ont des quêtes décalées, et les images dans le désert de sel de Salt Lake City sont difficiles à oublier. Pascale Bussières dans ses jeunes années était aussi sublime qu’aujourd’hui.
Laurence Anyways - Xavier Dolan
Quel jeune artisan du cinéma québécois n’est pas inspiré par son travail? Celui-ci est tout aussi audacieux et esthétiquement délirant que ses autres, mais c’est mon préféré.
Le Problème d’infiltration - Robert Morin
Parce que c’est un film qui raconte brillamment sans rien dire. C’est surprenant, inquiétant, imparfait et différent.